Ton meilleur souvenir ?
Mon premier but en Ligue 1 Uber Eats, que j’ai eu la chance de mettre lors de mon premier match au Roudourou… Je n’oublierai jamais ce moment avec l’EA Guingamp, mon club formateur. Jimmy Briand m’avait offert un caviar. Quel joueur c’était Jimmy ! C’est toujours un plaisir de repenser à ce moment. Je n’avais que 17 ans, j’entre en jeu et je marque… Incroyable.

Ton pire souvenir ?
La relégation en Ligue 2 BKT avec Guingamp. Le moment où l’on a appris que l’on descendait est mon pire souvenir, pour sûr. J’ai établi des records de précocité à Guingamp, j’ai commencé ma carrière là-bas, donc je voulais que le club soit en Ligue 1 Uber Eats au moment d’en partir, mais ça n’a pas été le cas malheureusement. C’est la plus grosse tâche qu’il y a sur mon CV jusqu’ici.

Ton plus beau but ?
Au Parc des Princes, avec Guingamp. C’est un but inoubliable pour moi car c’était un rêve d’enfant. J’allais voir les matchs du PSG en famille quand j’étais petit donc me retrouver sur ce terrain… Sur un corner de Clément Grenier, Edinson Cavani la sort et la balle revient aux 20 mètres… Je l’ai tentée et j’ai mis une demi-volée qui est partie sous la barre ! Marquer un but comme ça et être élu homme du match, c’est exceptionnel… Devant ma famille en plus. C’est probablement mon plus beau but et je l’ai mis au meilleur endroit possible.

Ton coéquipier préféré ?
J’ai joué avec beaucoup de bons amis et je me suis bien amusé depuis le début de ma carrière. J’ai joué avec Marcus Thuram à Guingamp. C’est quelqu’un avec qui j’ai grandi à Paris donc jouer avec lui en Ligue 1 Uber Eats, c’était incroyable. Il y a aussi Marcus Coco, avec qui j’ai fait presque toutes mes classes. Sur mes 300 matchs en pro, j’ai dû en faire 200 avec lui. A Nantes, on formait aussi un bon duo avec Randal Kolo Muani. On s’entendait très bien sur le terrain et on faisait pas mal de dégâts dans les défenses.

L’adversaire le plus compliqué ?
Le défenseur qui m’a le plus impressionné, c’est Thiago Silva. Il est incroyable, tellement fort… C’est un joueur de classe mondiale. Quand j’ai joué contre lui, il réussissait à m’emmener exactement là où il voulait. J’essayais d’être imprévisible dans les duels mais il était vraiment impressionnant.

La meilleure ambiance ?
Lens, c’est quelque chose. L’Orange Vélodrome aussi ! Mais mon cœur me fait dire Paris. Ce n’est peut-être pas la meilleure ambiance mais j’adore le Parc des Princes. C’est ce qu’il y a de bien avec la Ligue 1 Uber Eats, il y a plein de stades avec une super ambiance.

Ton coach préféré ?
Je dirais Jocelyn Gourvennec. Il m’a fait confiance et c’est lui qui m’a donné ma chance en championnat. On est toujours en contact. Pareil avec Christian Gourcuff. C’est lui qui m’a fait venir à Nantes et il m’a toujours fait confiance. Il continuait à me faire jouer même quand je n’étais pas très bon, lors de mes premières semaines au club. Antoine Kombouaré a aussi une place particulière. Il m’a poussé à élever mon niveau et il m’a donné de grandes responsabilités, ce qui a fait de moi le joueur que je suis aujourd’hui. Tous ces coachs ont joué un rôle important pendant ma carrière.

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